Natacha TRIADOU
Natacha TRIADOU découvre le violon à 4 ans et, à 13ans, elle est Médaille d’Or de
violon au Conservatoire de Toulouse. Elle mène une carrière de concertiste et professeur, après avoir étudié au Conservatoire de Toulouse. Impressionné par son jeu, Yehudi Menuhin la prend dans son école en Angleterre où elle se produit en concert. Elle poursuit sa formation en Allemagne à la Musikhochschule de Lübeck, et enfin, en Suisse à l’International Menuhin Music Academy, auprès d’Alberto LYSY et d’autres grands maîtres de la scène musicale internationale. Son amour de la musique, sa joie de la partager avec tous, l’ont conduite à se produire lors de nombreux concerts, notamment dans le cadre de grands festivals internationaux (Gstaad, Estoril , Acropolis de Nice…) et dans des salles prestigieuses (Victoria Hall de Genève, Tonhalle de Zürich, Abbatiale de la Chaise Dieu, Cathédrale de Reims…).
Natacha TRIADOU nous propose un voyage musical exceptionnel, commenté, avec des anecdotes savoureuses, un vrai moment de partage et d’émotion ! Grâce à des œuvres célèbres, mais aussi des découvertes, le violon se lancera dans une aventure qui mettra en lumière ses innombrables facettes, une grande diversité de styles, au travers de pièces d’une virtuosité extrême, comme la transcription par Ernst du « Roi des Aulnes » de Schubert…, ou en passant par un clin d’œil à Beethoven. Les compositions de Bach, Ysaye, Paganini, Sarasate, incontournables dans l’histoire du violon, ou le si touchant « Recuerdos del Alhambra » de Tarrega, seront également au programme de ce concert riche et varié.
PROGRAMME
- BACH : Andante et Allegro de la Sonate n° 2
- PAGANINI : Caprice n° 9 – « La Chasse »
- YSAYE : « Ballade » – Sonate n°3
- BEETHOVEN / SAINT-LUBIN: Impromptu sur un thème de Beethoven
- SCHUBERT/ERNST : « Le Roi des Aulnes » d’après le célèbre poème de Goethe
- TARREGA : « Recuerdos del Alhambra » (arr. N. Triadou)
- SARASATE : Danse Espagnole
La Chapelle Sainte-Marie
Cette chapelle de SAINT LARY, dite Sainte-Marie, a été connue sous le nom de Notre Dame du Bouchet puis Notre Dame du Mont Carmel. D’origine romane, elle est vendue comme bien national à la Révolution. Elle sera ensuite léguée à la commune par la famille Fournier qui en était propriétaire.